Comprendre
Combien de fois par jour ?
Un brossage deux fois par jour n’est pas suffisant. IL est impératif de se brosser les dents après chaque repas : après un excellent brossage, il reste entre 100 et 1000 bactéries par mm² et au même endroit, deux heures après, on en dénombre 2 millions. Le brossage à midi est donc indispensable.
Choix de la brosse à dents
La caractéristique la plus importante est la souplesse qui est fonction de la longueur du poil et de son diamètre. Il faut, dans tous les cas, acheter une brosse à dents souple qui est la seule qui permet d’avoir un brossage efficace et non agressif. Le brossage avec une brosse à dent dure entraîne régulièrement des récessions parodontales.
Choix du dentifrice
Le dentifrice a pour intérêt principal de faciliter l’élimination de la plaque dentaire. Le principal principe actif du dentifrice est le fluor. Il renforce les couches superficielles de l’émail et les rend plus résistantes aux acides produits par les bactéries. Chez l’adulte, le dentifrice doit contenir au moins 1.000 ppm (parties pour millions) de fluor pour être efficace.
Les techniques de brossage
Ce n’est pas le temps que l’on passe à se laver les dents qui permet un brossage efficace. Il faut avant tout favoriser la méthode. Le meilleur moyen de ne pas oublier de secteur, c’est de toujours suivre le même schéma et ce, de façon méthodique. Les dents sont nettoyées l’une après l’autre. Pour chaque arcade dentaire, le brossage commence par la face externe de la dernière dent d’un côté et se termine sur la face interne de la même dent du même côté. Pour des raisons d’efficacité (acquérir un automatisme), le brossage doit être fait de la même façon à chaque fois. Il ne faut pas oublier de brosser la langue qui joue un rôle important dans l’hygiène bucco-dentaire. En effet les bactéries que l’on trouve sur la plaque, se retrouvent aussi sur la langue.
Le brossage bien fait, à la fréquence nécessaire a pour but le maintien de dents saines et l’élimination de la plaque dentaire. La brosse à dents manuelle ou électrique doit être à poils souples en fibres synthétiques, et maniable.
Combien de fois par jour ?
Un brossage deux fois par jour n’est pas suffisant. IL est impératif de se brosser les dents après chaque repas : après un excellent brossage, il reste entre 100 et 1000 bactéries par mm² et au même endroit, deux heures après, on en dénombre 2 millions. Le brossage à midi est donc indispensable.
Choix de la brosse à dents
La caractéristique la plus importante est la souplesse qui est fonction de la longueur du poil et de son diamètre. Il faut, dans tous les cas, acheter une brosse à dents souple qui est la seule qui permet d’avoir un brossage efficace et non agressif. Le brossage avec une brosse à dent dure entraîne régulièrement des récessions parodontales.
Choix du dentifrice
Le dentifrice a pour intérêt principal de faciliter l’élimination de la plaque dentaire. Le principal principe actif du dentifrice est le fluor. Il renforce les couches superficielles de l’émail et les rend plus résistantes aux acides produits par les bactéries. Chez l’adulte, le dentifrice doit contenir au moins 1.000 ppm (parties pour millions) de fluor pour être efficace.
Les techniques de brossage
Ce n’est pas le temps que l’on passe à se laver les dents qui permet un brossage efficace. Il faut avant tout favoriser la méthode. Le meilleur moyen de ne pas oublier de secteur, c’est de toujours suivre le même schéma et ce, de façon méthodique. Les dents sont nettoyées l’une après l’autre. Pour chaque arcade dentaire, le brossage commence par la face externe de la dernière dent d’un côté et se termine sur la face interne de la même dent du même côté. Pour des raisons d’efficacité (acquérir un automatisme), le brossage doit être fait de la même façon à chaque fois. Il ne faut pas oublier de brosser la langue qui joue un rôle important dans l’hygiène bucco-dentaire. En effet les bactéries que l’on trouve sur la plaque, se retrouvent aussi sur la langue.
Le blanchiment dentaire permet d’éclaircir la teinte des dents.
Ces techniques sont réservées à des cas particuliers, et ne doivent surtout pas servir de prétexte à une mauvaise hygiène bucco-dentaire !
La coloration des dents est influencée par différents éléments :
- l’hérédité
- la prise de certains médicaments pendant la période de formation de la dent.
- le mode de vie : consommation de café, thé, tabac, vin…
Avant de commencer un traitement de blanchiment dentaire, le praticien établira un bilan bucco-dentaire. Ainsi, l’on vérifiera qu’il n’y a pas de contre-indications au traitement : caries, maladies parodontales…
Gouttières ambulatoires
Le praticien prend une empreinte de la bouche, confectionne des gouttières, qui seront appliquées toutes les nuits durant environ deux semaines. Le patient insère le gel blanchissant dans la gouttière, et la porte pendant un temps défini par le praticien (maximum une heure).
Séances au cabinet dentaire effectuées par un praticien
C’est la technique la plus rapide, les produits sont les plus concentrés, et activés souvent par la lumière. La séance dure une demi-heure à une heure ; prévoir deux séances espacées de deux semaines pour un bon résultat.
La carie est la maladie des dents, elle est directement liée à la consommation d’acides et de sucres : sodas, jus de fruits, sucreries et caramels. Il n’est pas interdit de se faire plaisir, entre copains ou en famille mais pas toute la journée, et le minimum est de se rincer la bouche avec de l’eau rapidement après en avoir bu et mangé.
Facteurs favorisants la carie dentaire
Mauvaise hygiène bucco-dentaire. Il est indispensable d’enlever la plaque dentaire au fur et à mesure de sa formation pour garder des dents saines. Consommation excessive de sucres : un apport continu de nutriments permet aux bactéries d’être actives en continu. Fumer : le tabac diminue la vascularisation, ce qui rend moins actives les défenses immunitaires locales, y compris chez les enfants exposés au tabagisme passif des parents. Problème local : hyposyalie (manque de salive), pouvant faire suite à une irradiation locale (suite à une radiothérapie ORL); respiration buccale ; mauvaise minéralisation des dents. Maladies générales : diabète sucré, hyperthyroïdie, hyperparathyroïdie, traitement par corticoïdes. Stress : de nombreuses études ont mis en évidence un lien direct entre le stress et le taux de caries.
Zones de prédilection
La carie débute le plus souvent dans certaines zones, moins accessibles au nettoyage. Le sillon est la zone anfractueuse, relief négatif, en creux, de toute surface dentaire. Même avec un bon brossage, cette zone est difficilement accessible à la brosse à dents. Pour prévenir ces caries, on peut faire un scellement de sillons : obturation de ces creux avant formation de la carie.
Point de contact:
La zone de contact entre deux dents ne peut être nettoyée avec la brosse à dents.
Collet:
La brosse à dent souple est nécessaire pour pouvoir bien passer au niveau du collet, zone légèrement en retrait.
Symptômes
Les premiers signes peuvent apparaître une fois que la carie a atteint la dentine. Mais parfois la douleur ne survient que très tardivement. C’est pourquoi il est vivement conseillé de ne pas attendre d’avoir mal pour consulter un praticien. Douleurs au froid et au sucré signent le plus souvent une carie active ou une dénudation du collet dentaire, qu’il est urgent de faire traiter. Douleurs au chaud ou à la pression signent généralement une reprise de carie sous une obturation qui a évolué à bas bruit et a provoqué la nécrose de la dent concernée. Dommages visibles : initialement tache blanche (pas toujours très visible). Une tache marron (plus ou moins foncé) signe une carie ancienne, reminéralisée, qui n’est plus active. Lorsqu’on remarque un trou dans la dent, la carie est déjà avancée ; la dent risque de devoir être dévitalisée.
Soins
Le traitement vise à arrêter l’évolution de la carie et à éliminer les zones tissulaires abimées, favoriser la cicatrisation des tissus sains sous-jacent, éviter la récidive, restaurer la forme anatomique et fonctionnelle de la dent. Ainsi, lorsque les caries ne sont pas trop profondes, on réalise des soins conservateurs. Le praticien procède à l’éviction du tissu carié, souvent sous anesthésie locale, puis, en fonction de la profondeur de la carie et de la position de la dent, met en place un amalgame ou un composite.
Composites
Ce type de matériau permet des obturations esthétiques grâce à sa capacité de prendre la couleur de la dent qui l’entoure. La variété de la palette des couleurs est telle que le praticien peut se rapprocher au plus près de la couleur naturelle de la dent. Il existe des composites classiques en mélange de deux composants et des composites photopolymérisables qui durcissent très rapidement en présence d’un puissant rayon lumineux bleu. Ces matériaux sont particulièrement esthétiques.
Inlays Onlays
Les inlays, onlays sont des reconstitutions prothétiques par incrustation de matériau coulé au laboratoire. Lorsque la dent cariée a été particulièrement endommagée, on envisage les inlays, ou incrustation C’est un bloc, en général en céramique (de la couleur des dents) scellé à l’aide d’un ciment dans une cavité aux parois de laquelle il s’adapte en reproduisant l’anatomie occlusale de la dent et ses rapports avec les dents voisines. Cette reconstitution permet de traiter les dommages causés par la carie et de maintenir votre dent vivante.
Dévitalisation
Lorsque la carie a atteint un stade avancé, le dentiste doit dévitaliser la dent, puis obturer les canaux dans lesquels se trouvait la pulpe afin de prévenir une infection bactérienne. Le dentiste réalise le traitement radiculaire ou dévitalisation d’une dent lorsque celle-ci ne peut plus être gardée vivante, soit parce qu’elle est déjà nécrosée, soit parce qu’elle risque de le devenir.
C’est une prothèse dentaire permettant de protéger une dent qui est vivante ou non (dévitalisée). Une couronne reconstitue artificiellement la couronne de la dent délabrée. Elle peut être simple, ou associée à un inlay-core (faux-moignon ancré dans la racine de la dent par un tenon, qui va servir d’ancrage à la couronne). Les deux principaux avantages sont que la dent est protégée… et qu’une couronne bien faite ne se remarque pas !
Le bridge
Un bridge permet de remplacer une dent absente, en s’appuyant sur les dents adjacentes (une de chaque côté). Le principe est le même que pour la couronne. Le bridge permet de remplacer une dent absente, voir deux, plus dans certains cas de figures. L’avantage est évident : le bridge permet de remplacer une dent manquante, en utilisant un système fixe (qu’on ne doit pas enlever chaque jour pour le nettoyage). Néanmoins, on doit « couronner » les dents qui serviront de pilier.
La prothèse complète
Pour la personne édentée totalement, la prothèse complète (dentier) est une solution. Elle peut être stabilisée par des implants dentaires
Gencive saine
Une gencive saine ne saigne pas, ni en mangeant, ni au brossage des dents, encore moins spontanément. Elle n’est pas « gonflée », ni douloureuse. Sa couleur est rose, sa capacité de défense par la sécrétion de cellules immunitaires est intacte permettant une protection contre les bactéries et les virus.
PREMIERS SIGNES
Saignements, douleurs, gonflements. Ces signes annonciateurs d’un problème gingival doivent inciter à consulter rapidement. Les bactéries sont passées sous la gencive et amorcent des « dégâts » dans les tissus sous jacents. Le responsable le plus fréquent : le biofilm ou plaque dentaire. Il y a risque de gingivite, voire de parodontite, si on ne traite pas. D’où la nécessité de consulter son praticien.
Traitement des parodontopathies
Le traitement comprend les étapes suivantes: L’apprentissage d’une hygiène bucco-dentaire rigoureuse. Le patient doit savoir éliminer quotidiennement avec attention toute la plaque dentaire, nettoyer les petits espaces inaccessibles à la brosse à dent par des brossettes inter dentaires. Le traitement initial consiste à éliminer les causes directes (tartre, plaque) ou indirectes favorisant (zones de rétention, force occlusale, etc.) pour assainir le terrain: Détartrage manuel ou à ultra-sons, polissage des dents, surfaçage radiculaire, contention des dents mobiles récupérables, traitement des caries, répartition des forces occlusales.
Le traitement chirurgical parodontal est adapté à la quantité de tissus détruits. Il peut être limité à la gencive, ou à la gencive et à l’os alvéolaire pour supprimer les poches osseuses, éliminer les bactéries dans les lésions profondes, redonner à la gencive une forme fonctionnelle.
Le contrôle périodique du patient. La maladie parodontale peut reprendre son évolution si les conditions de nettoyage ne sont pas rigoureusement respectées.
L’extraction des dents de sagesse est souvent préconisée quand il y a un « manque de place » au sein de la mâchoire du patient.
Il est intéressant de consulter, afin de prévenir.
La non-extraction des dents de sagesse peut engendrer des déplacements de dents, des problèmes d’occlusion, …